Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Il y a un petit film qui a été posté il y a peu sur la toile, un de ces films qui font le tour des roues de vélo en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
« Une vie de cycliste urbain » montre le quotidien d’une bicyclette qui doit quémander sa place aux bagnoles. L’idée principale est d’illustrer les peurs qui font que beaucoup évitent la bicyclette pour se déplacer ; en 10 minutes, le tour est joué. Rien n’est donné, que se soit à un carrefour, un giratoire, une petite rue, et plus que tout, sur une bande cyclable.
Le film est fait pour effrayer, mais aussi pour faire comprendre aux décideurs, et décideuses, que les infrastructures sont absentes pour aller en sécurité.
Le film montre le cycliste poser des questions parfois aux conducteurs, en vain. Il ira jusqu’à complimenter une automobiliste sur la beauté de son vélo… à 4 roues.
Après avoir reconnu que certains conduisent en faisant attention, heureusement, le film se termine en expliquant qu’il faut peut-être frapper, frapper d’une main la sacro-sainte bagnole avec ce slogan « si je peux taper, c’est que vous êtes trop près ».
Le film a été réalisé à Rouen, mais de la même façon, il faudrait éviter Orléans à vélo. Orléans est parfois dangereuse pour les cyclistes.
Voici comment les parents éduquent les enfants à Orléans – La photo a été prise devant 2 écoles, sous un panneau « défense de stationner », avec 2 agents de police en faction à proximité.
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