Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Le vendredi, c’est pris sur la toile, même en soirée.
Ils sont fous ces tourangeaux, elles sont folles ces tourangelles, avec moins de kilomètres de cyclablilité, Tours recèle d’avantage de cyclabi⋅habileté… où va le monde ?
Un chiffre marque particulièrement : « Dans la région, Tours se distingue avec 7 % des actifs qui utilisent le vélo, soit près de trois points de plus qu’à Orléans. Pourtant l’agglomération tourangelle compte 280 kilomètres
de pistes cyclables[NDR : kilomètres cyclabilisés] répertoriées contre 428 pour celles d’Orléans ».
Nous sommes dans l’attente de la réponse « courroucée » des grands fauves d’Orléans-Mégalopole.
Par fibre environnementale, pour le sport, la santé et le côté pratique, ces Tourangeaux privilégient le vélo pour se rendre au travail.
Ils sont des « vélotafeurs ». Pour se rendre au travail, ces Tourangeaux privilégient le vélo. Plusieurs raisons expliquent ce choix : la fibre environnementale, l’argument sport et santé ou tout simplement le côté pratique.
Tu auras remarqué qu’ils font la même erreur que leur collègue de La Rép’, confondre itinéraire cyclable et piste cyclable.
J’ai d’ailleurs laissé un commentaire sur l’article 😉
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Oui, c’est pour cela que j’ai usé de la formule « kilomètres de cyclablilité » qui pourrait être « km de cyclabilisés ».
Mais au début j’ai été transporté par l’idée des « portraits », je ne sais pas pourquoi 🙂
Les prochains arrivent dans la semaine.
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