Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Second tout petit film de présentation de ce qui fait qu’une ville donne envie de prendre son vélo au quotidien (je dois avouer que je ne comprends pas un traître mot de ce que dit Pedro Madruga).
L’onde verte est un circuit « structurant » réservé seulement à l’usage du vélo, qui fait passer l’auto en second. Construite sur le modèle des autoroute pour automobile, c’est une solution très facile à mettre en place. L’onde est un système de feux coordonnés pour les cyclistes.
Au moment des heures de pointes, car il y a beaucoup de cyclistes, la vitesse est limitée à 20km/h. Dans le centre ville, matin, midi et soir, en respectant la vitesse, vous ne poserez pas le pied à terre. En dehors de ces horaires, la circulation est moindre, c’est une piste classique. L’onde verte est sécurisé (peut-être structuré ?) et le nombre de cycliste à grimpé car le circuit est lissé
Il y a eu des radars d’installés pour permettre aux cyclistes de connaître leur vitesse. De plus, il y a des lumières au sol pour vous faire savoir si vous êtes ou pas dans l’onde verte (note : dans un autre reportage sur Copenhague, ces lumières au sol avaient pour but de d’indiquer au cycliste de modérer sa vitesse pour avoir le feux au vert).
Il n’y pas la place pour le superflu dans cet équipement, tout est là pour faire rouler les vélos. Pensez à la bicyclette en premier et vous êtes en route vers une ville plus désirable.
L’onde verte est un élément clef de l’aménagement.
Et du côté de la Belgique : http://www.gracq.org/actualites-du-velo/un-vert-integral-pour-cyclistes
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