Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Aujourd’hui est le jour du dépassement (>fr) alors pourquoi ne pas en profiter pour dire tout le bien de la conduite en automobile dans l’agglomération d’Orléans.
Oui, la période des congés est synonyme pour ma pomme de conduite automobile pour effectuer quelques interventions en lieu et place de mes collègues.
Quant il y a des travaux, les pouvoirs publics mettent une signalisation presque efficace qui vous indique une série de déviations, des contours et vice-versa et cerise sur le gâteau, jamais votre sécurité n’est mise en jeux.
Il y a même des marques au sol pour les nid-de-poules.
Quant à tourner à droite, ou à gauche, c’est selon, jamais vous n’avez de marches à passer. Même pour le stationnement, certaines places sont faites à neuf et enduites du même bitume que la rue, avec une simple peinture au sol la communauté automobile d’Orléans fait des merveilles.
J’avoue que une fois, j’ai effrayé mon collègue en pilant, oui en pilant face à un poteau électrique. Il me demanda pourquoi j’avais fait cela, je n’eus comme seule réponse :
« l’habitude de ces millions de kilomètres ; tu peux pas comprendre la beauté de ce poteau ».
Je suis encore en sevrage automobilistique, il peut me comprendre. Autant aller au bout de l’aggiornamento de la nouvelle politique de ce blog :
« j’ai adoré ne pas prendre les voies express e/o l’autoroute ».
Une chose étrange a été de découvrir que les automobilistes orléanais pouvaient par un simple geste vous laisser — contrairement à ces connards à vélo — vous insérer dans la circulation, la courtoisie.
Pas plus tard qu’hier, une conductrice de 4X4 m’a même laissé le bénéfice de sa priorité à droite dans la zone de Saran.
Et vous pouvez vous trouver à la peine pour quitter une place de stationnement — qui ne sont pas donnée, à ça ! ! ! ! ! ! — les automobiles derrières arrêtent leurs mouvements pour vous laisser manœuvrer en paix.
Une pensée pour ces piétons que l’on voit traîner le long de l’ancienne RN20. Les pauvres, qui doivent attendre des plombes un ces satanés bus ou encore aux feux, alors que dans la camionnette il y a l’air conditionné. Vivement une version plus moderne, il y aura peut-être une véritable clim, car ce n’est pas humain de souffrir.
Les vélos ne respectent rien. Je sais, certains trouvent des excuses à ces comportements, pourtant, à travers la vitre, j’en ai vue de la piste, du panneau bleu, de la voie verte, alors quand même, c’est une question de volonté de monter dessus et de pédaler, non-pas nous faire ch**r sur la route. Ras le cul de ces chieurs qui réclament la route, pourquoi pas la suppression d’une voie de circulation le long des boulevards, à la médiathèque la maire risque de les fichent sur le trottoir et c’est tant mieux, ils sont dangereux à traînasser à 15 à l’heure. C’est pour leur bien qu’il faut les isoler de la circulation.
Un mur, un piéton, de la verdure, 20cm vélo, cadeau !
Et puis, je vais donner mon avis, même si on ne me le demande pas, moi je pense, personnellement « que les vélos, ils n’aiment rien de la vie ». La mairie fait des travaux pour très très très cher, vous allez voir que ces raclures à 2 roues ne circuleront pas dessus, pourtant, là, ils seront bien au milieu des crottes de chiens.
La bordure, c’est une nature.
J’en ai bien vu un ou deux qui roulaient peut-être un peu au-dessus des limitations, mais c’est loin d’êtres la majorité. Ce sont ces putains de cyclistes qui exagèrent toujours pour se faire plaindre. Avec les radars un peu partout, conduire c’est moins éclatant qu’avant.
Jamais là où il faut et quand il faut. Regardez par exemple, cet automobiliste qui allait probablement stationner son véhicule sur le trottoir rue Eugène Vignat, qui l’emmerde, le tramway — cet anachronisme — et les flics. Comment il va revendre sa dope aux sportifs, aux profs déjà assez nerveux comme ça ou peut-être aux quelques jeunes venus se renseigner du jour de la reprise. Comment ?
C’est le commerce qui trinque de la répression policière, il y aura des révoltes.
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