Le vendredi, ce sont les rédacteurs et rédactrices du fil d’actualité attaché à mon compte qui font le boulot. Aujourd’hui, les vacanciers des îles, avec 2 points de vue sur la même destination. Un est en vacance, l’autre c’est agrégé au fil par un système de mot-clef dont le réseau est friand. Il y a des villes qui font de même pour attiré le chaland, pour faire croire…
Entre ces 2 billets, ces 2 points de vue, devinez qui est un blogueur influent dans le tourbillon mainstream de la matrice, qui ne l’est pas.
Les îles de la côte Atlantique facilement accessibles par la route – Oléron, Ré et Noirmoutier – cultivent leur image de territoire cyclable et en font un argument touristique. La saison estivale est ainsi propice aux loueurs de vélo et au dégourdissement des jambes.
Jeanne a provisoirement élu domicile à Barbâtre, la première commune qui se présente à celui ou celle qui met le pied sur l’île de Noirmoutier. Alors, le vélo, ça donne quoi ? Premières observations sur le territoire de cette commune longiligne.
Parmi les jolies découvertes de cet été, je compterai l’île de Noirmoutier. J’en avais vaguement entendu parlé auparavant, celle-ci étant connu pour sa chaussée submersible appelée le Gois. Et forcément, nous on voulait voir ça de plus près.
Becancaneries 
Elle précise bien qu’ils n’ont pas eu l’occasion de faire du vélo sur l’île. Dans la matrice (la vraie) une petite pilule aurait suffi pour s’offrir la sensation grisante du vent dans les cheveux à 17 km/h ! 🙂
Son conseil de faire appel aux loueurs est judicieux car globalement ils louent des vélos de qualité et certains proposent même de les livrer à domicile et de revenir les prendre (en plus d’assurer l’assistance en cas de pépin).
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