Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
« Où suis-je ? » est un jeux de découverte de la mégalopole d’Orléans (>fr) , ses panneaux farfelus, sa cyclabilitude comme dirait l’autre :
Nous sommes sur un trottoir, quelque chose qui n’a pas d’existence dans le code de la route — c-à-d qui n’est pas défini —, et sur ce trottoir, sans même avoir son pendant en amont, figure un panneau de fin de piste cyclable obligatoire ; l’obligation ne peut être effective que, si et seulement si, il y a un arrêté pris par le maire, ou la mairesse, pour exclure la circulation des automobiles (des véhicules motorisés) de la-dite voie, et ce, avec l’accord du préfet.
Les commentaires sont fermés.
Dur, dur… Je sèche… Ce qui est normal après une baignade.
Je ne sais pas si c’est la crève mais à la fin tu voulais certainement écrire « pour exclure de la circulation les cycles », non ?
J’aimeJ’aime
non. l’arrêt des autorités devrait porter sur l’interdiction de circulation des autos sur les pistes cyclables, ce qui n’est jamais fait.
J’aimeJ’aime