Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
La version moderne est « ville d’Orléans, des perruques et des jeux »
Côté perruque, la ville assure. Elle est classée à la 13ᵉ place (>fr) dans la catégorie des grandes villes — les mégalopopole, c’est une pointure au-dessus — mais le conseil municipal prend cela avec humour :
C’est à suivre dans ce fil « oiseau bleu » (attention, ça pique) :
https://twitter.com/OrleansMetropol/status/975402239568302083
La ville a foutu en l’air une petite bande cyclable pour envoyer les cyclistes dans les pattes des piétons — un des points du barom… non, rien ! Il s’en est parlé ici (>fr-ce jouèb) et l’affaire est filmée icitte (>fr)
Orléans et ses banlieues bruissent d’une rumeur comme quoi « on peut plus se garer, puisque c’est payant ». Personnellement, je n’ai jamais compris en quoi payer pour occuper une place dans un parc de stationnement représentait un problème en soi, enfin, je ne fais que me représenter.
Il semblerait que les sportif⋅ve⋅s du mercredi soir, eux & elles, ont trouvé une solution : lâcher les caisses sur les trottoirs, la police n’osera rien dire de peur d’être submergée par le nombre.
Le rêve gris du maire d’Orléans est « en marche » !
Dans une ville normale, le prix du parc de stationnement et celui du tramway — 2 stations — seraient intégrés au prix du billet d’entrée, voir le tramway serait gratuit les soirs de match.
Maj le 22 mars : aux dernières nouvelles, les locaux ont perdu 🙂
Est-ce qu’au moins les places de parking prises sur la bande cyclable étaient toutes occupées ?
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Oui, pour le coup.
C’était apocalyptique mais visiblement, les automobilistes se font très bien à l’idée d’un piéton qui les photographie, d’un piéton (voir plusieurs) SUR la chaussée. Ils ralentissaient, faisaient des écarts…
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