Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Petit voyage en Bordurie, ce joyeux pays où avant les travaux, il y avait une bordure pour… marquer son territoire comme le chien fait avec sa crotte.
Après des années de travaux, la bordure a gagné et a été remise à sa place, afin d’empêcher les « circulations douces » de circuler sereinement dans le quartier.
À l’autre bout de ce « où-suis je ? », un trottoir a été « despeint » sur 5m, c-à-d, que de la peinture a été ôtée, une sortie aménagée — avec un passage à zéro, ce qui est suffisamment rare pour être souligné — pour échouer à un panneau d’arrêt obligatoire. Du haut du guidon, la modification des règles de priorité met les véhicules, motorisés ou pas, à égalité (avant, les cyclistes avaient un « cédez-le-passage »). Édit (07/02/2020) : c’est de la merde !
Dans la guerre Bordurie-Orléandie : 1 partout !
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janpeire dans « Arrêtez avec Orléans, par pi… | |
Marjorie dans « Arrêtez avec Orléans, par pi… | |
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janpeire dans En bande à vélo | |
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janpeire dans Mai à vélo | |
c dt dans Mai à vélo |
Rue de la messe/Fbg Bannier 🙂 (merci le clocher)
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