Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Tout cycle doit être muni d’un appareil avertisseur constitué par un timbre ou un grelot dont le son peut être entendu à 50 mètres au moins. L’emploi de tout autre signal sonore est interdit.
et le même article de préciser :
Le fait, pour tout conducteur d’un cycle, de contrevenir aux dispositions du présent article est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la première classe.
Le ding-ding du vélo représente l’avertissement envers une forme de danger, réel ou imaginé dans la circulation. Par analogie, c’est un peu ce qu’est le touite, le gazouillis virtuel, à la pensée politique sur la toile mondiale ; un bon moyen pour interpeller, pas une façon de discuter.
Note : je n’ai pas de compte touitteur — en vérité, j’ai pas réussi à m’inscrire tellement je suis tarte ; que j’eusse eu réussi l’inscription, il eut porté le nom suivant « vení-vesí-bici » — et si certains liens dévoilent de véritable identité, ce billet n’est en rien un appel à lyncher les touittos…
https://twitter.com/JulienRey12/status/1228987366074920973
« Ce matin rue Ferdinand Buisson un couple de papie-mamie se gare sur la piste cyclable pour aller à la messe… »
Cette histoire raconté chez l’oiseau bleu ne colle pas avec la réalité. Ou il y a erreur de dénomination de la rue, ou c’est une histoire pour se faire mousser sur les réseau mal-dit sociaux, ou c’est dans une autre ville, ou c’est une historiette pour justifier la dose de moraline en guise de conclusion, mais présentement, c’est un mensonge. Dernière hypothèse, la personne est présente sur la liste aux magiciennes et elles lui ont fait boire un « jus détox » pour l’empoisonner, et, le pauvre, il a réussi à tout vomir, encore groggy il a eu des hallucinations.
Rien de grave en soit, mais 3 pictogrammes au sol ne sauraient être une « piste cyclable », ça c’est ce que croit la mairire d’Orléans actuelle. Tout le monde peut confo… sauf un « référent vélo », ça la fiche mal, trèèèèès mal pour la confiance que l’on peut porter à ce parti.
Pour l’information des sorcières, les jus « détox » sont une arnaque. Les jus verts, ou d’autres couleur, ne servent que à la vente de magazine pour poufs. Le foie est l’organe qui « filtre » les potentiels poisons de l’organisme. C’est dans les cours de science naturelle du collège que l’on apprend cela, pas dans les formations de charlatane, même après un « cursus » de 1500 heures dans le Jura.
Breaking niouze en patois de la FrenchNation.
La liste OSE organisait sa première réunion publique de la campagne des municipales le vendredi 21 février sur le thème de « la ville en transition »
https://twitter.com/OrleanaisC/status/1230480208379174913
Un vrai réseau cyclable sécurisé avec :
- L’implantation de parcs à vélos + des arceaux à vélos supplémentaires
- Le franchissement de la Loire par une passerelle
- Le doublement de la location de vélos électriques par TAO
- Une aide financière à l’achat de vélos électriques
Remontons dans le temps : Serge le 1 avait promis un peu tout et n’importe quoi en ne pensant pas gagner, mais le peuple lassé du potentat fauxcialiste vote pour lui et rien de grand ne fut fait pour le vélo. Serge le 2 a fait pour le moins le premier inventaire, publié sous la forme de la carte des méprises cyclables. Serge le 3 a créé le monstre mégalopolitain et a cru qu’une merde numérique allait être utile. Il a beaucoup remué ses petits bras pour partager les rôles du pithiviers local, au point d’en être malade. Peut-être que la détox du côté de la Sarthe a été plus efficace que le jus vert puisqu’il revient sous la forme de Serge, l’un des 4 fantastiques dans l’art des vertes promesses.
Il n’est pas le premier à claironner qu’il a changé, Carré l’a dit lui aussi, les fauxcialistes également. De mémoire, son cousin à la mégalopopole disait ce genre de truc :
Le chef de l’Agglo d’Orléans déclarait en 2014 – réunion publique, campagne des municipales 2014 :
Dès que l’on fait plus d’un kilomètre et demi, on est sportif !
Ou encore dans la Rep’ (24-05-2017), avant de laisser la place pour nuire ailleurs :
« À chaque opération, on voit ce que l’on peut faire. Quand la voirie est suffisamment large, on crée une piste en site propre. Mais je préfère des bandes sur les trottoirs que rien d’autre. Les zones mixtes, ça a du sens ! »
Il y aurait une forme de décence à la fermer, non ?
https://twitter.com/Uni_Terre/status/1230098048388390917
L’inventeur du copier-coller est mort il y a peu, et reprendre le cartel du compte touitteur de l’attachée à l’environnement pour le poser ici constituerait une insulte grave à sa mémoire.
Il est à souhaiter que la mémoire fasse défaut à l’électorat local, car côté cycliste, à part nuire, le maire Olivier Carré, aidé de sa fine équipe, n’a pas fait de grandes choses mémorables sauf peindre des trottoirs pour cacher les merdes de chien.
Pour le plaisir de dire du mal, je voulais seulement rappeler l’état déplorable des rues, pas uniquement du centre-ville, dans toute l’agglo. J’ai des photos de détritus — la feuille de choux municipale par exemple — qui restent en place quasiment une semaine. Hors le centre, des déchets longent certaines rues plus d’un mois durant, et dans les zones, ils y sèchent.
Mais, ce touite parle « d’intensifier la lutte contre les incivilités » et de « d’avantage de gardes champêtres ». Le candidat-maire parle également de démocratie, de parole au peuple… mais sauf erreur de ma part, dans les projets des « budgets participatifs », il y en avait un rue des Murlins, pour la pose de potelets.
L’efficacité d’Olivier Carré et de ses amis dans la lutte des incivilatudes en 2 #GCUM.
N’en déplaise à un récent ex-prétendant à la présidence du syndic de copropriété — une personne qui s’est ralliée à Carré contre « une bande qui ferait mains basses sur la ville » — quand au numéro 41 de la rue, il y a les marques d’installation, mais pas les 5 potelets d’un projet élu par la démocratie locale… la « bande mafieuse » semble déjà en place ; il semble également qu’un coup de fil « haut placé » soit plus important que le vote populaire. Chacun est libre de ses choix ou de ne pas choisir.
Quel crédit donner à un type en matière de « débat démocratique » quand on claironne qu’il y aura une passerelle, ce dont personne ne veut sauf son clan, et en même temps, comme dit son maître Macaronléon, il consultera un comité Théodule.
Pour en finir avec le triste sir, sur la liste du maire sortant, il y a des « sportifs », largement engraissés par l’impôt local, des sportifs même pas fichus d’aller dans un parc de stationnement souterrain à moins de 100m, des sportifs stationnés « place des revendeurs ». Un signal fort, l’électorat se drogue aux particules fines, lui.
Dans les fils touitteurs, nombre de listes de droite ou de droite reprenaient le classement d’Orléans au baromètre de la FUB, comme un marqueur de l’infamie, en affirmant que eux, ils et elles, vont faire de la place aux voitures pour ne plus être gêner par ces salauds en 2 roues… heu, non, eux, ils n’opposeront pas les modes… enfin, non, que le règne du « on peut pas pousser les murs » est arrivé… enfin, mais vous comprenez ce que veut dire « nous ne céderons rien aux ayatollahs ».
J’invite les gens du PS-PCF d’Orléans à regarder la superbe place de Saran dans ce même classement, les gens de EELV à ne pas oublier qu’ils soutiennent la candidature du maire de la Chapelle — et du futur bétonnage pour le parc de BMX — commune avec le PS, le PCF et Lrem. Ce conseil vaut pour le PS-PCF-EELV de Fleury — oui les « ennemis » dans une ville sont les copains dans une autre — ou à St Jean de Braye, Olivet.
Pour tous, il serait bien de quitter l’écran à l’oiseau bleu et son petit quartier pour « penser » l’agglo dans sa globalité… un peu le programme mis en place à Copenhague par Mikael Colville-Andersen.
L‘article sur le vélo dans le numéro de février 2020 du Monde Diplomatique (>fr) n’apprendra rien aux cyclistes du quotidien, mais il fourmille de rappels tel que :
Autant le dire, je critique, je râle, beaucoup, trop même, mais je n’ai pas à me justifier, et je suis également sur un réseau mal-dit social, mais libre (ce n’est une garantie de rien). Un réseau sur lequel le Diplo pouète de temps en temps :
https://mamot.fr/@mdiplo/103703511056282233
Je ne terminerai pas sans dire que dans le même numéro, nous apprenons que Jair Bolsonaro est « inspiré » par un magicien… astrologue. J’dis ça, j’dis rien !
De vélo tombé,
Nerveusement sourire
Et repartir.Au milieu des gris pavés
Éclats d’un rouge cri vif.
Le thème du jour était « motos, scooters & mobylettes », mais comme je roule à vélo, j’ai retravaillé un haiku ancien pour en faire un tanka et une fiction. Les haiku, ou micropoèmes, au quotidien du NaHaiWriMo sont publiés sur mon cyber-cahier en langue occitanne(>òc-lm & fr), pas de panique, ils sont traduits en françois.
Personnellement, je respecte le code de la route, j’ai un gentil avertisseur qui fait dong et « en même temps », j’en ai autre de l’ordre de 130 db qui m’est bien utile pour survivre en milieu hostile, c’est-à-dire dans la MétrOpole. Je n’ose imaginer qu’un jour la municipale me rappelle à l’ordre face au grand n’importe quoi routier que je subis chaque jour, dont la rue des Murlins en photo est un bel exemple.
L’OLB et ses bagnoles pas-bien-à-cheval-par-ailleurs-avec-le-code-de-la-route me font toujours penser à ces sportifs qui prennent le SUV pour aller en salle soulever de la fonte. 🙂
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À la base, le ding-dong était là pour rappeler le « touit » que doit bien faire la notification sur certains ordi-phones. C’est devenu ma thématique de la semaine puisque je faisais une « petite » analyse des propositions vélo dans la campagne locale, à travers quelques comptes touitteurs.
J’ai un pote qui a un klaxon à air, redoutablement efficace.
Pour OrléansLaBagnole, c’est une petite vengeance. Un jour un de leur chauffard m’a refusé la priorité sous le pont de chemin de fer (moi dans le sens St Jean le blanc, Orléans) alors que j’étais sur la route. Le beauf me criait dessus qu’il y avait le trottoir pour moi, mais moi je voulais aller vers St Marceau.
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