Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Seconde semaine de l’opération de comptage des Kilomètres Globalement réalisés à Bicylette dès demain lundi, mais, avant quelques diapositives prises dans Orléans du 1er au 6 de septembre 2020, une correction.
Il y a une erreur dans la grille de comptage. La colonne « moral » donne un horrible « #RÉF ! », pas de panique :
— un clic droit sur la souris → puis un sur « effacer le formatage direct »
et le tour est joué, l’état de votre moral sera pris en compte.
Situation rigolote où cette dame ne comptait pas me céder la priorité à laquelle j’ai droit.
Un visage avec des gros yeux, une bouche grande ouverte qui feint la crainte de l’impossible accident, et la voila partie, la dame, pas la bicyclette, pour un éclat de rire.
Une façon bien civilisée de partager le bonheur & la route.
J’ai eu d’autres qualificatifs ailleurs envers cette cycliste qui marque un arrêt dans un virage, déjà dangereux en lui-même, pour consulter ses messages. Ce n’est absolument pas comme si il avait un bébé dans la charrette de son vélo-cargo*.
* je laisse le hiatus « si il… » parce que culturellement j’en ai le droit 😀 et, pour mettre en valeur ce qui doit être une forme de litote.
Plus de 5 places sont disponibles (vérification a été faite sur le film), mais il est toujours plus facile de stationner n’importe comment, même si présentement, ce n’est gênant ni pour les piétons, ni pour les cyclistes.
Du haut de mon vécu vespéral, cette auto-école est la spécialiste du refus de priorité, et elle excelle dans le stationnement sur les bandes cyclables du quartier…
Elle n’est pas la seule de la cité johannique à aussi mal enseigner la conduite automobile. Pour les autres, les fautes les plus courantes sont : stationnement dans les couloirs bus, stationnement sur les trottoirs, stationnement dans les sas vélo, stationnement dans les bandes cyclables, stationnement sur les passages piétons. Les excuses entendues de-ci de-là ont été en général « je sais, mais c’est l’élève qui conduit ».
Des auto-écoles, le top a été le soir où un moniteur est descendu pour me dire de les doubler, lui et son élèves, car il en avait marre que je le suive.
Pourtant, nous ne sommes pas ici devant l’entrée d’une des deux écoles de la rue.
L’automobiliste était toute sourire en faisant sa crasse, je lui éclate le rétroviseur, elle crie aussitôt qu’il n’y a pas de places de libre. Je crie que si… ce que confirme le film.
Il est vrai que sur les automobiles modernes la direction n’est jamais réellement assistée, c’est un leurre du marquetage des constructeurs pour justifier un prix d’achat important.
Cela représente trop de travail de suivre le comportement de ces parents qui détestent leurs enfants au point de leur polluer l’air, suivez les réseaux mal-dits sociaux pour voir l’étendue des dégâts.
_ Un petit tour dans coronacouloirs de bus — ouverts à la circulation des vélos — en réaménagement, c’est l’avantage du temporaire, une grande souplesse en cas d’erreur, de nécessité de changer les lignes…
_ Un petit tour des « équipements cyclables » ouverts ici ou là…
Ces 2 thématiques seront peut-être passées au crible des 2 autres blogueurs « cyclo » de l’agglomération, Jehanne-à-vélo (>fr) & Yann d’Orléans (>fr)
_ Un premier bilan des « travaux » réalisés sur le petit dernier de l’écurie « Ermès d’entre dos rius » (Hermès d’entre deux ruisseaux).
_ Même si ce billet est écrit dans le cadre du KGB, il faut dès à présent songer au cyber-cahier des CIAs, les Circuits Intérieurs de l’Agglomération, c-à-d, les petits circuits pour aller au boulot à vélo, pour promener la belle doche le dimanche, les petits circuits culturels…
_ Et en fin d’année, le vélothon.
Parce que ne pas avoir un très bon caractère ne signifie pas une absence de sensibilité !
Traucar los bòscs
Sos la nivolada
Congiers achabats.
À travers les bois
Sous l’amas de nuages
Les congés sont finis.
Pour les lecteurs et lectrices de mon dernier recueil de micro-poèsie, l’arbre mal peigné en arrière plan est « Solitarí / Solitaire », mon plus fidèle compagnon de chemin.
Cris aigus dans la rue
— bruyante était l’absence —
Jour de rentrée.
Mare matinale
Vue par des yeux couleur de lac
— évanouie.
Et en écho, tombé du vélo lors du trajet du soir :
Odeur de boue
Échassier aux airs de piquet d’huîtres
— marée basse.
BONJOUR POUVEZ VOUS M ENVOYER LA GRILLE DE COMPTAGE DE KILOMETRE MERCI BONNE JOURNEE
J’aimeJ’aime
Je vous fais ça ce soir.
Jpb
J’aimeJ’aime