Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
De nouveau, un billet sous la forme d’une traduction d’un billet tiré du blog « Bici-vici » (>cat).
— Faites la promotion des liaisons entre les établissements scolaires ! Et ne laissez pas les voitures s’en approcher !
Voici la clef qui a bien fonctionné dans plusieurs communes et qui a donné une impulsion majeure au déplacement cyclable. Les habitant⋅e⋅s doivent demander que les écoles (NDT : établissements scolaires et péri-scolaires, y compris lieux de sport) soient reliées aux pistes cyclables ; cela donnera de meilleurs résultats si les AFAs (NDT : associations familiales) le demandent également, si la direction de l’école le demande et si les associations de quartier et le tissu associatif soutiennent la démarche.
Évidemment, cela doit s’accompagner d’autres mesures, principalement deux :
L’installation de parkings est très logique, mais il est également important d’avoir des parkings fermés dans les écoles, cela renforce le sentiment de sécurité contre le vol et implique davantage l’établissement envers ce mode de déplacement.
Fermer les rues (NDT : à la circulation motorisée) autour des écoles est très important et peut être fait avant même d’avoir des pistes cyclables. C’est important car cela donne plus de sécurité à l’environnement matériel de l’école et rend ainsi plus viable l’utilisation des moyens actifs que sont la bicyclette et la marche. Cela réduit également l’exposition des mineurs à la pollution atmosphérique, ce qui n’est pas un argument des moindres. Les fermetures peuvent commencer à être ponctuelles, aux heures d’entrée et sortie, mais devraient devenir permanentes. Une fermeture de rue, en favorisant les modes actifs, offre la possibilité d’aborder les déplacements à l’école ; cela peut favoriser également ponctuellement le stationnement (NDT : il n’est pas précisé dans le billet si c’est celui des vélos ou des autos). Ainsi, faire du vélo offre plus d’avantages que de conduire un véhicule motorisé.
La création d’un réseau cyclable au départ d’établissement scolaires au sens large facilite la création ou l’amélioration du réseau cyclable de la commune et renforce l’attractivité du vélo en qualité de moyen de transport.
Dès l’âge de 8 ans, les enfants peuvent se rendre seuls à pied à l’école. À modérer selon le degré de maturité de l’enfant, selon les difficultés du trajet et selon les craintes des parents. Entre 8 et 12 ans, ils devraient pouvoir aller seuls à l’école à vélo.
Au niveau de la société, pour améliorer l’autonomie des mineurs, nous ne pouvons qu’intervenir pour améliorer les parcours scolaires et réduire la perception du risque de la part des parents. Nous pouvons également donner aux parents et aux enfants des outils pour savoir comment se déplacer à vélo en toute sécurité.
Aller à l’école en groupe avec, ou sans, adultes, peut être également un moyen de rendre plus sûr le chemin de l’école — le concept de vélo-bus scolaire —.
Les aires urbaines qui ont réussi à avoir un réseau cyclable reliant les écoles ont constaté une augmentation de la pratique du vélo non seulement sur les trajets scolaires, mais également pour les autres types de trajets (NDT : utilitaires, travail…). Avoir des parcs de stationnements sécurisés dans un environnement scolaire sécurisé est un des facteurs clefs qui facilitent grandement l’utilisation du vélo tout en décourageant l’utilisation de la voiture. Ainsi, est rompu le cercle vicieux de la perception du danger en milieu scolaire qui produit du trafic motorisé et qui fait que les familles finissent par utiliser davantage la voiture au détriment du vélo et la marche, l’automobile apparaissant comme alternative « plus sûre ».
Vous êtes-vous déjà demandé quelle distance pouvait-être couverte par vos enfants avec un vélo, en marchant, en courant ?
Dans cette page (NDT : ce billet était traité indépendamment) je recueille les expériences des parents avec leurs fils et filles afin de guider d’autres parents. [dernière mise à jour : mai 2020]
2 ans
3 ans
4 ans
5 ans
6 ans
7 ans
8 ans
9 ans
11 ans
12 ans
Tout est une question d’apprentissage et, comme vous le savez, chaque personne possède ses propres capacités et rythmes d’apprentissage. Par exemple: n’essayez pas de faire 10 km de ski de fond avec un enfant de 6 ans le premier jour, mais si vous l’avez fait à d’autres reprises et que vous avez également l’habitude de marcher, ce ne sera pas un problème.
Pour faire certaines activités physiques, les enfants doivent être motivés, faire des pauses et suivre le rythme. Voici quelques bonnes idées pour sortir avec des enfants :
Note : les données ETRTO sont tirées du Wiklou (>fr)
Adiu e adishatz ! Quiò aquò b’ei ginhèc ! Amistats. Domenja
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De segur que ‘quò deuriá estre « coma ‘na norma » de limitar la circulacion de las veituras davant las escòlas (‘vant de la ‘restar completament), e, per ‘nar mai luenh, de poder per tot lu monde anar tot de biciclar d’un luòc « comunau » ad un autre per eisemple d’un centre sociau au teatre.
Tant iò dire maitot, d’autant mai que ai pas d’eifants, çò qu’aime de virar ‘quilhs bilhets, qu’es que per ‘na vetz, los eisemples venan pas « dau nòrd » de l’Euròpa.
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qu’ac aprecii au-delà los exemples d’alhors !
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A reblogué ceci sur Hadiuet a ajouté:
Un projècte possible per har los nostes sauneis realitat ! Mercés Jan-Pèire
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