Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
L’éclectisme est un pays que je n’ai jamais visité, mais si on me paye le voyage… Ce jouèb a connu du Sardou, du Goya, du Bourvil, alors pourquoi pas le pastiche d’une chanson du répertoire populaire, au sens noble du terme.
En passant par Fleury
Un GCUM0 je vis
Qui disait « v’là un ORNI1
J’m’pousse pas, j’clignote
Passe, f’pas tas chochotte
J’attends ‘n bas d’chez mes potes !
– Connard ne déboite pas
Ne me renverse pas
Puisque tu ne me vois pas
Je tinte, je klaxonne
Je pile, je frissonne
À gauche, je vironne2.
– Si le sort te réduit
En petite bouillie
Sous ma caisse jolie
De m’en aller soulot
Après ‘voir tâté du goulot
De Fleury ch’uis un poivrot.
– La mairie j’alerterai
Ton vaisseau, pulvériserai
Tu auras un pévé.
Adieu connard de Fleury
Je bosse nous sommes lundi
Demain mardi jusqu’à vendredi3.
– Cycliste, si j’avais su
Que ta vie puisse être perdue
Dans la voie, s’rai « stéere la revoitu »4
J’n’aurais pas stationné
Dans la bande blanc’éclairée
Pour tout le monde gêner.
– Bagnolards de Fleury
Ceux de l’agglo aussi
Ne soyez point des crétins finis
Respectez les équipements mauvais
Les cyclistes n’ont que ça où rouler
Et du ÇA, eux doivent se contenter. »
Notes :
Et 500m plus loin, c’est « Jojo le taxi » — un futur billet ? — qui stationnait dans la piste du boulevard de Verdun, une des rares pistes dites « piste cyclable à la Copenhague » de l’agglomération.
Pour ce crime de lèse-pasticherie, je me songe être dorénavant radié de la moindre sauterie occitane, enfin, avant d’aller en Bretagne donc, étrenner mon nouveau poncho, une très belle version de ce chant magnifique.
Tout l’album est magnifique au demeurant.
Qui ei donc la qui cantava Jo le taxi !!!? E la Camera della lacrime, quina beutat !
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« Jojo lo taxi » vai beleu ‘ribat, fau restar a l’espera. Per la Camera della lacrime, sei ben de consent, e coma far autrament, tant per la votz que las musicas, ‘na miraudia.
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PS : non, pas possible que sias despatriat !
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