Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Troisième diaporama démoulé de la caméra de la semaine passée.
Direction Fleury les Aubrais, sa gare, son hôpital psy, ses abattoirs, son supermarché mais également son honorable réseau de bandes peintes ; un réseau qui fait le liant entre les écoles, les jardins, les services publics, la salle des fêtes… pas un réseau parfait, certes, bien moins péteux que celui de la ville du père fondateur des fleuves & rivières et plus homogène, quoique que les aménagements de ces 5 dernières années soient des aménagements au rabais, malgré les fumeuses promesses d’un plan « vélo » exhibé par certains comme des preuves d’achat lors d’un divorce.
Je suis assez vieux pour avoir connu l’époque d’avant le plan « téléphone pour tous », avec une cabine dans le village et une dame qui était préposée à décrocher, galoper dans le village pour dire à untel ou unetelle que tel ou telle personne était au « bout du fil ».
J’ai également connu les cabines téléphoniques publiques, à pièces, à cartes…
À Orléans, le dernier chic est d’aller devant la sortie de la déchetterie passer des appels… en et dans la voiture. Présentement, elle roule avec les feux de détresse, à 5 à l’heure.
Fréquence : souvent à cet endroit qui est un repaire de trafiquant⋅e⋅s en choses diverses et avariées.
Petit diaporama :
C’est un trottoir, rien de plus, dans une zone : supermarché, mange-merde, abattoir, bricolage, garage, bazar, jardinerie (?), écoles, entreprises (dont au moins une avec des travailleurs handicapés)…
C’est un trottoir malgré la signalétique. Je reste sur la chaussée pour éviter les piétons, les dos-d’ânes, pour éviter les détours, les plantations, je reste sur la route car il y a des peintres en lignes et pictogrammes — « est-ce que votre ville vous informe des travaux ? »« Jamais » —, et le trottoir se termine en hachoir à cycliste.
Le reste de la rue de Curembourg a déjà été visité :
Autre diaporama :
Une bagnoliste en soirée a peut-être déjà plus qu’un coup dans le pif. Un verre ça va, trop de jaja, c’est pas la joie !
Vous la rattraperez sans peines au feu. Vous vous le savez. Alors ne faites pas les idiots au guidon, le plus important, c’est de rester vivant. La mairie d’Orléans et ses services ne seront jamais de votre côté, alors « Cyclistes d’Orléans et de St Jean, freinez ! ».
Participez à l’enquête sur : barometre.parlons-velo.fr
l’aménagement rue de curembourg, au croisement boucherie des abattoirs en direction de semoy (photos avec bus) est un exemple parfait de nouvel aménagement sans aucune concertation avec les pratiquants. ce genre de rénovation est un exemple parfait que rien ne fonctionne en périphérie d’Orléans. un vélo dans ces rues matin et soir est un indésirable, un intrus qui se fait klaxonner tous les jours parce qu’il est sur la route et pas sur le « trottoir » cyclable…je suis fatigué…
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Il faudrait refaire l’ensemble du réseau dans le coin non pas re-peindre ce qui était mauvais et ancien (ça doit avoir environ 25 ans). Il y a pourtant le réseau, mais souvent les intersections datent d’un autre âge, le mélange piétons/cyclistes pourrait être acceptable mais la largueur ne le permet pas, pas plus que les sauts, ressauts, dos-d’anes et chicanes.
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