Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Heureux de vous revoir au Strade Bianche !
Le dernier billet sur la série manga la plus cycliste du monde a été écrit il y a un an de cela. Il est disponible dans ce lien (>fr).
« Les petits vélos » — Kawauso no jitenshaya-san — de Keiko KOYAMA
L’un des commentaires d’alors dit « […] La traduction française de “correspondança…” n’a pas été menée à bout lors d’un NaNoWriMo passé […] » et bien, ceci n’est plus vrai en cette fin novembre 2021.
Les coupables des 3 meurtres ont été arrêtés par une équipe de choc. C’est raconté sur ce jouèb, en français et en occitan, et cela se découvre en suivant l’étiquette « NaNoWriMo2021 » (>òc-fr).
« Correspondance avec la mort » va être mise en page à l’aide de LyX, corrigée, pour peut-être connaître l’impression d’une petite série et offerte à la Saint Glin-Glin.
Après ce travail de traduction, votre serviteur méritait une récompense pour ses efforts, et surprise, dans sa librairie favorite il y avait… une invitation à prendre un bain aux sources thermales.
La présentation officielle est celle-ci :
Heureux de vous revoir au Strade Bianche ! Yôko est la figure emblématique de cette boutique de vélos aux allures de café. Un beau jour, un lycéen débarque et la provoque en duel ! De son côté, André Duvet, trop excité depuis qu’on lui a confié son premier travail, est victime d’un accident de vélo… Un huitième tome qui va de l’avant et qui vient nous rappeler combien nos jeunes années ont pu laisser en nous autant de souvenirs doux que déplaisants !
L’autrice poursuit sa présentation de la galaxie vélo. Ainsi faisant, nous rencontrerons une charrette à accrocher au vélo de monsieur ou de madame, ce qui est important pour le partage des tâches, un moyen « électrique » pour pallier la prise de quelques kilos par le maire.
Il y a cet étudiant qui vénère Yōko et travaille dure pour se payer… surprise en vue dans l’atelier-pizzeria-bar des amis. Toujours dans ce lieu, l’apprenti mangaka trouve du travail quand André Duvet, lui, change de département dans son entreprise. Pour son malheur il passe au département tourisme et chute lors de sa visite d’Orléans, sur une bordure. Salauds !
Il y a la découverte des manchons par temps froids, les même que ceux-ci (>fr-J-à-V), pour aller aux provisions.
Il y a également des discussions très sérieuses sur « les filles qui voudraient des modèles de vélo homme, mais adaptés à la corpulence des femmes. Rien de plus ! » — pas forcément un truc rose — et puis, sur une attitude propre aux réseaux mal-dits sociaux — il y a peu 3 connards se sont moqués d’un groupe de filles qui ont fait 100km en 7 heures — aka, le concours de quéquettes.
Présentement, l’objet de la compét’ est le partage du vélo plaisir, c-a-d en couple ou en solo, car, autant le dire, Véloutre tarde à conclure avec Isabelle et son vélo rigolo. Enfin, votre serviteur est un peu comme Véloutre, il aime bien le vélo en solo 🙂 .
Hihi, il y a quelque chose de ressemblant entre toi et Véloutre sur cette couverture.
« André Duvet,… chute lors de sa visite d’Orléans, sur une bordure. Salauds ! » vraiment ?!
Et merci pour la traduction de ton livre, j’ai récupéré le texte sur l’autre site et je le lirai après relecture du livre en occitan limousin.
De plus, quelqu’un m’a dit qu’il fait très froid chez vous, tu auras probablement besoin des manchons de guidon pour ton trajet aller-retour vers la manifestation de fin de semaine.
J’aimeJ’aime
Pingback: Un desboiradís de libres – Rapieta