Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Tout petit billet, de plus de 140 caractères cependant…
L’origine du mot… dièse « 30 jours à vélo » est à retrouver dans ce billet (>fr-J-à-V).
Les croisillons — hashtag en patois de París — à suivre sur les réseaux mal dits sociaux sont :
Il y a peu, la personne qui reçoit des émoluments pour orienter la politique de l’usage du vélo dans l’agglomération d’Orléans se croyait drôle ou spirituelle (ou peut-être cette personne est seulement sotte pour ne pas dire c…) en affirmant que lorsqu’il pleut, les cyclistes prennent une automobile.
Il ne sera pas rappelé l’inutilité de certaines personnes politiques, leur toxicité, leur déconnexion de la réalité… un certain résultat électoral en ce mois d’avril s’en charge. Peut-être est-il temps par contre de leur rappeler qu’une partie de leurs tâches ne devrait rien devoir aux fins de banquet mais plutôt tout devoir à la sueur résultante du travail réalisé à la construction d’un réseau cyclable de qualité, avec une infrastructure répondant aux critères actuels de construction, pas ceux des années 1940.
Ce travail nécessite de la volonté, de la hardiesse et du courage, ce qui devrait pouvoir couler plus vite que le pétrole ou le gaz de certaines contrées, davantage ruisseler que certaines richesses dont d’aucun⋅e⋅s ont la bouche pleine de la promesse.
Allez, coucou c*****d :
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Je pense n’avoir pas placoté sur les 2 ouvrages ci après :
Le numéro 9 de la série est la continuation des aventures bicycleësques autour de la boutique de Monsieur Véloutre.
Nouveau venu, un jeune bouquetin qui va faire sa première course, une lapine qui s’entraine avec… un loup. Oui l’univers dessiné présentement est un peu naïf pour ne pas dire niais, mais c’est cela qui fait son charme.
De nouveau il y a la présence d’Isabelle la journaliste, toujours à la recherche de l’amour ; nous savons que Véloutre est l’objet de ses désirs, mais, il semble qu’il y avait une condition « présence d’une bluette » à la publication de la série.
Alfonsina Strada est la seule femme a avoir terminé un des trois grands tours « pour les hommes », le Giro, en 1924.
Une femme de légende dans un roman graphique très très très coloré, avec un semblant des réclames d’autrefois dans le style graphique et le choix de la palette.
Une histoire courte, trop, bien trop, mais la détermination de la jeune femme était grande, une jeune femme qui gagna sa première course à 13 ans.
Joan Negrescolor est un dessinateur catalan.
En avril n’oublie pas le fil de tes réseaux ; en mai, pédale à vélo pour faire le beau.
Mai à vélo est un événement national auquel se colle la mairie d’Orléans, faute de pouvoir proposer des réalisations de qualité dans la plate ville. Il y aura plein de trucs chouettes qui feront persifl… causer au bar du coin, il y aura surtout 2 événements :
Une exposition de peinture sur sol, par un artiste local, Christian D. dont le violon d’Ingres est la pose de différents motifs réalisés avec une peinture industrielle et au kilomètre : pictos, logo, flèches… à même le sol.
La mairie d’Orléans, réputée conservatrice dans ses choix culturels, a laissé carte blanche à l’homme d’art pour une installation en plein air, en différents coins de la cité et son agglomération.
Le but de « variation blanchâtre » est de provoquer l’envie à rouler pour les cyclistes dans une translation horizontale entre différents trottoirs de la cité johannique ; le blanc de la peinture offrant un écho de pureté aux traces sombres du foyer de l’héroïne locale dont le sacrificiel souvenir résonne encore aujourd’hui. Des sculptures en forme de bordures et de grilles de caniveau faussement clairsemées sur les hypothétiques cheminements seront autant d’interrogations sur la « foi » cycliste actuelle et le devenir d’une possibilité offerte à la roue de l’objet de déplacement qui en est pourvu.
Je ferai de mon mieux pour bien cadrer les photos des installations « sur site ». rendez-vous en mai.
Le 4 mai à Olivet — petite giscardie du sud, qui es-tu ? — est organisée une projection du film « Together we cycle », projection suivi d’une rencontre-débat avec Olivier Razemon & Stein Van Oosteren.
« du foyer de l’héroïne locale » ah, donc ils se droguent ! Cela expliquent les problématiques d’aménagement du territoire si plat, si pratique pour la vitesse des bagnoles… Oui, je veux bien voir ce que ce délire va donner.
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