Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Participer à cette monstration des endroits « vu à vélo » pourrait vite tourner à une forme de compétition, mais force est de constater, au moins chez le mammouth, que l’opération tourne plutôt à la complétion dans le domaine des pratiques cyclurbaines :
Un bilan.
L’opération débutait en même temps qu’un léger désherbage de printemps et de la bibliothèque, donc fissa, l’occasion de faire un dépôt à Chapitre2 (>fr) :
Le 1er avril
Ce même premier jour du mois d’avril, la nuit était l’occasion d’une virée au cinéma afin de demander la protection du Batman. « The » Batman avec une tripotée de doutes sur le bien, le mal, en crise également sur sa légitimité à être un justicier, à être digne de défendre la veuve et l’orphelin. Pour ceux et celles qui n’aiment pas les chauves-souris, il y l’apparition de Catwoman…
Le 2 avril
Dans l’agglomération d’Orléans, « 30 jours à vélo » était l’occasion de faire des rencontres. Un exemple avec un « les Blosssières – Fleury » et un « Serfcottes – Fleury » qui se rencontrent, un après midi de pluie, avec le même plaisir de se raconter après l’averse, le tout avec un grand sourire pour dire « Dumas démission ; les cyclistes, lors qu’il pleut, ont des protections ». Le même lieu, le samedi suivant abria une rencontre autour de la langue internationale, l’espéranto pour la nommer :
Ĉi tie, dum la veninta sabato, #30joursàvélo renkontis la internacian lingvon, do #30tagojbiciklante la 9a de aprilo.
Lors de la rencontre du 4 mai « arrêtez avec Orléans, par pitié ! », un des intervenants insistait sur les rencontres que l’on peut faire le cul sur une selle, les mains sur le guidon et les cheveux au vent.
Certaines cyclistes, lorsque vous les interrogez pour le KGB vous affirment, sans coup férir « je fais peu de vélo. Quartier St Marc – le marché du samedi, deux ou trois portements, mais pas loin ». Et puis, le lundi de Pâques, lors d’un dépassement « en côte », vous doubler votre informatrice de la vie cycliste des temps jadis, tranquillement elle va parler aux morts, après ±6 km, toujours en monovitesse, toujours alerte :
Le 18 avril
Le vélo est un formidable moyen de transport, qui offre de belles perspectives. Après le « Batman », Blua-Marko se fait un film lors de la rencontre avec « Retour vers le futur » et un brin de « Buzz l’éclair » :
Le 21 avril
Traverser un coin de forêt au quotidien, c’est rencontrer la frondaison, un peu :
Le 31 mars au soir
Beaucoup, avec les basses couches réalisées, une frondaison en cours pour les plus hautes couches, l’occasion de souhaiter une bonne journée malgré la pluie — vous n’êtes pas en sucre — à tous et toutes sauf à Christian Dumas démission :
Le 13 avril
À la folie, la frondaison est terminée et la forêt est parée de ce vert si particulier et si fugace :
Le 25 avril
Dans la même forêt, selon le plan officiel de l’agglomération « arrêtez avec Orléans, par pitié ! », il y a cet équipement de qualité — noté comme tel sur une fumeuse carte — un équipement qui ressemble pourtant bigrement à un chemin forestier. Dumas pas la peine de m’expliquer la vie dans une lettre rédigée par ta secrétaire, laisse la place !
Le 26 avril
Un vélo au hasard de la rue :
Le 11 avril
Le temps d’une petite reconstitution d’une scène de crime :
— Présents : mitaine, rails du tramway, trame de tissage…
— Absent : le vent (principal coupable).
(Note : une cycliste cyclistant en ce beau matin s’enquit de mon bien être, croyant en la chute 😁)
S’il fallait choisir une photo de l’album du moi, pardon, du mois, ce serait ce test colorimétrique pour Jan d’Auvernha :
Le 27 avril
À l’an prochain.
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