Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Attention, l’alcool est une drogue nationale autorisée car elle rapporte un pognon de dingue ; c’est également la raison pour laquelle les sénateurs vivent longtemps. Boire un verre de temps en temps, pourquoi pas, abuser au quotidien, bonjour les dégâts !
Ce billet n’est en rien une invitation à vous torcher, mais une forme de suite au jeu de mot pourri sur le « pa(i)n » et les « brioches » (>fr).
Ce billet donne 2 points dans l’agglomération d’Orléans où l’installation d’un « appel cycliste » au feu ne ferait pas de mal.
La rue Pablo Picasso est celle qui part de la mairie-poste de police-église, passe devant le cimetière pour échouer avenue d’Orador de Glana. Elle est équipée de 2 étroites bandes cyclables, très étroites.
L’avenue d’Orador de Glana est celle qui rejoint le parc de l’Ermitage jusqu’à l’avenue Marcellin Berthelot ou elle se change en avenue de Verdun*. Elle est équipée de 2 bandes cyclables, avec le petit espace rétroviseur le long des places de stationnement en très grands nombre.
L’ensemble n’est pas en or mais au quotidien, ce « réseau » fait plutôt bien l’affaire. Il est à craindre que l’équipe municipale de Fleury ait des envies « d’améliorer » l’existant ; nous risquons d’être balancés sur le trottoir, avec les entrées charretières et les poubelles… pour notre sécurité et parce que « on peut pas faire autrement ». Pour mon cintre, je conserverai le trottoir existant, je ferai un sur-trottoir PLAT d’une largeur CONSTANTE le long de ce trottoir. Le stationnement existant ‒ en nombre malgré l’aspect pavillonnaire de l’endroit ‒ serait relégué au centre de la voirie. Je comprends bien que les riverains et riveraines trouveraient cela dangereux, mais, ce sont et celles qui conduisent une automobile qui représentent un danger, autant que ce soit pour les principaux concernés !
Il va de soi qu’il faudrait également un bouton « appel cycliste » en face !
* l’avenue de Verdun est équipée d’une bande d’un côté et, en partie, d’un… sur-trottoir de l’autre (qui se termine en simple bande).
Des travaux ont été effectués à cet endroit. Entre autres, il y a eu la pose d’un passage piétons pour sécuriser la traversée de ces derniers ; dans une ville moderne, avec un plan vélo, l’ensemble des circulations auraient bénéficié du résultat des travaux, sans avoir besoin de quémander son bout de grain de tofu.
Il faut dire qu’un ingénieur a pondu une circulation centrale du bus sur 200m, avec l’obligation des piéton·ne·s de traverser une autoroute urbaine pour prendre le bus e/o sortir du corridor… ce doit être le même qui a « pensé » la circulation des cyclistes entre piste bidirectionnelle sans échappatoire pour rejoindre le centre-ville, un giratoire dantesque, même pour la traversée piétonne. Ce truc doit avoir 30 ans et il devrait être rénové puisqu’il est une « entrée dans la cité » suivant certains itinéraires de Loire à vélo, mais les équipes municipales se suivent et se ressemblent, sans oublier que le lieu est moins putagrammable que le pont G5.
‒ Il n’y a pas un type qui n’aime pas voir trainer ses billet sur les réseaux mal-dits sociaux ?
‒ Les gens râlent pour un rien de nos jours !
Ce touitte a été la petite étincelle nécessaire pour rallumer le foyer d’espoir placé dans le lien (>fr-mégalopopole d’Orléans) et je vais écrire une jolie lettre aux sévices techniques.
Vous comprenez pourquoi je n’ai pas fait de liaisons entre les sévices & le rouge qui tâche dans ce billet, par diplomatie.
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