Théorème de J.B. Corot : « la ville de Copenhague est équipée de 350 km de pistes cyclables surélevées, séparées de la route et très sûres » dont plus de 550 km font les trottoirs d’Orléans et son agglomération.
Loin de votre serviteur de s’imaginer Homère et vous narrer présentement une histoire de Gorgones. Il se trouve que la pose des panonceaux M12 par les sévices techniques d’une mégalopopole errante entre Charybde et Scylla relève de la tradition orale, souvent moquée sous ces formes de dialogue :
« J’le pose où le panneau chef ?
— Là !
— Là ?
— Non, là plutôt
— Moi c’est Dédé, Pluto c’est pas l’ami de Mickey ?
— T’es con… »
(générique de Rires&Chansons).
Nous sommes ici à la jonction de la rue du maréchal Foch et du boulevard Rocheplatte.
Il manque la création d’une petite bande pour accéder au feu et la pose d’un panonceau M12 pour prendre à droite, la direction de la patinoire, la salle de concert de musique moderne, le quartier Madeleine, la Loire à vélo, ce, via la voie bus.
Cette bande peut sans problème être prise sur la large voirie des motorisés (2 voies, stationnement…).
Bien sûr, la « mairire » et ses collaborateurs sont enclins à vouloir nous faire aller vers le canicrotte borduré, mais n’importe quel être humain ayant essayé une fois cette « possibilitude » ne s’y laisse pas reprendre.
Sérieusement, venir du boulevard Rocheplatte et désirer prendre la rue Bannier, en toute fluidité — par exemple le soir aux heures du vélotaf, ce pour être un chaland parmi d’autres — semble impossible à cause de la circulation motorisée.
Nous savons depuis peu que le défilé lors de la festouille déguisée était une partie de la politique cyclable d’Orléans ; nous sommes en droit d’imaginer que dans les têtes « pourrites » & dé-pensantes de la mégalopopole le vélo est soit un loisir en bord de canal, soit un sport.
Peut-être est-il possible de limiter l’entrée en ce lieu à une voie et aménager autrement la circulation cycliste.
Par charité, rien ne sera dit sur la taille — même si ce n’est pas ce qui compte présentement, c’est le message — du M12 posé au feu dans la rue Bannier.
Ceci n’est pas une conclusion.
D’autres méfaits dans l’agglomération d’Orléans seront illustrés prochainement, une agglomération dans laquelle rien n’a été fait — sauf la fierté d’un (1) kilomètre d’aménagement — depuis l’adoption du fumeux plan « ça roule Carré© ».
° et encore, la dame pipi perceptrice des émoluments de la vice-présidence aux 2 roues semblait dans ce conseil mégalopolitain de novembre n’en savoir trop rien, en même temps, 1 km sur les 590 que doit compter Orléans maintenant que les « suggestions de circulations » éclosent comme lapin à Pâques, qu’est-ce ?
Le ridicule et invisible panonceau :
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