La fausse piste…

Après la manifestation, interdite, du 12 novembre, d’une douzaine d’adhérents de l’association « vélo qui rit », le maire de la commune donne son sentiment au Progrès (>fr).

Dans l’article, la mairesse dit :

[…]Ce n’est pas possible de se contenter de protéger les cyclistes par une simple ligne blanche et des petits dessins de vélos. […]

Ce qui est vrai, c’est que pour le moment les cyclistes circulent dans un endroit visiblement dangereux puisque non-aménagé mais un endroit non-interdit.

Mon sentiment est que je compte plus sur le vécu des cyclistes que sur les vues de l’élue et sa cohorte de technicien pour savoir ce qui est bon pour les cyclistes.

« Notre présidente a été auditionnée le jeudi 24 novembre, où elle a subi un interrogatoire pour dénoncer ses complices, ce que bien évidement elle n’a pas fait, et pour assumer sa responsabilité pénale »


Ici, à Orléans pour protéger les cyclistes, l’Agglo a chié des étrons de ciment sur des kilomètres, enfermant les cyclistes entre le fossé ou le caniveau et l’étron continu, enfermé à ne pouvoir sortir quand un obstacle survient.

blossiere

Présentement, le problème est autant l’étron de la mairie que la qualité de la route, mais par pitié, je n’ai pas fait de capture de l’avant cette partie, situé aux Blossières, déjà chroniquées ici, depuis, la mairie a refait le tour de la plaque d’égout, c’est presque pire !