Après le point média (>fr), avec une qualité bien moindre que les photos présentes ici (>fr), c’est ce jouèb qui présente quelques photos — captures d’écran des films réalisés lors de la vélorution.
Encore une fois, en qualité de membre de l’équipe organisatrice, je renouvelle le grand merci aux 180 à 200 participant-e-s en cœur de manifestation, aux cyclistes qui nous ont accompagnés — parfois croisés — sur des bouts de trottoirs, aux piétons avenants et prévenants, aux forces de l’ordre conciliantes… et aux automobilistes patients qui ont fait bonne figure malgré tout en ce bel après-midi.
Passé le pont George V — quai Cypierre
Il y avait des personnes avec des charrettes des vélos bi-porteurs ne souffle l’orthodoxie cyclièsque.
Il y avait des vélos couchés
Il y avait des vélos mal proportio… des Brompton©
Un embouteillage avant le second point noir (le premier était le pont GV). Touristes, usagers, il est impossible à cet endroit de quitter la Loire à vélo sans avoir une envie d’actes illicites à l’encontre des autorités autorisées.
De la médiathèque vers le THÉÂTRE
Seconde série de photo. Le passage de la trémie ce fait sur le trottoir malgré le mange-merde, malgré les rails du tramway…
Vers Loire
Il y avait un tandem (qui a fait des envieux)
Il y avait des vélos couchés, à 2 ou 3 roues
Il y avait des gens heureux
Si, des personnes heureuses
Et la fanfare
en deux images
Que les Sapaïous (>fr-fcbq) soient encore remerciés pour leur présence, la musique, même s’ils n‘ont pas remporté l’Eurovision©, ils ont enchanté le trajet (et conquis nos cœurs).
Becancaneries 
La deuxième capture c’est pas une charrette, c’est un bi-porteur :-).
Et la dame qui pilote ce bel engin avec ses enfants dedans est venue grâce à un flyer. Je le sais car on a échangé quelques mots alors que je revenais agrafer une seconde salve de flyers. Très sympathique.
Mention spéciale au « vélo mal proportionné » ! 😀
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Un mot qui fait s’énerver Stéphane 🙂
Pour le bi-porteur, c’est surtout qu’en fin de reportage, je parle chariot…
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Comme toi, je tire mon chapeau notamment à tous ceux (et tu en étais) qui ont encadré le cortège avec maestria.
Je salue aussi la placidité des forces de l’ordre. Il me semble qu’au croisement de la rue de Vauquois avec la rue du faubourg Saint-Jean, deux motards de la police nationale sont venus se porter à la hauteur d’un motard qui s’était un peu trop avancé et dont ils craignaient qu’il tente de forcer le passage.
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