Lu, (pas encore) vu, écouté & entendu…

Lu

Hors-série 200

Le numéro spécial de 200 « destination voyage(s) » avec au sommaire :

  • – s’équiper pour rouler et dormir ;
  • – choisir un type de vélo, savoir le réparer ;
  • – des exemples de balades ;
  • – Laos, Colombie, Irlande… partir, (se) raconter.

Entre les pages de ce numéro hors-série – un poil moins dans la performance, le graveuleuh, la trace sur strv© – il y a un plein de textes et de photos avec un petit clin d’œil aux congés, un petit peu du « goût des autres », du bon usage d’une véloroute… des dessins, des conseils. Pas véritablement un guide au sens de ce livre ici chroniqué (>fr), mais cela donne envie.

La « com’ » de la mairire d’Orléans

La mairire d’Orléans est très très très forte en com’, cela a déjà été moqué plusieurs fois.

« Loire à vélo » est un parc de stationnement

Il y a la com’ de merde et la com’ pour rien. Toute ressemblance avec une histoire de chasseurs… fruit du hasard.

Illustration avec la pose, remplacement, d’un… feu.

touite_feu

Les ravis de la crèche saluent le nouveau « feu », mais sauf erreur de mon cintre, il n’y a pas grand-chose autour – entre les 2 ponts, un trottoir touristique, entre Combleux et la ville, rien – et surtout, il ne faut pas oublier que la bande du pont est devenue depuis peu un parc de stationnement.

Les bordures pour quitter/prendre le trottoir ont-elles disparues ? Les bordures du passages pour piétons – ce que c’est – ont-elles été rabotées ?

« OrléansVilleParking » back in 70’

Dans le monde de la com’, il y a un refrain connu : « Il ne faut pas prendre les gens pour des cons, mais, pardon MAIS, il ne faut pas oublier qu’ils le sont ».

Sauf que, à ce jeu-là, la cyclo-touitosphère johannique se révèle bien plus intelligente que les sévices de la mégalopopole. En 2 captures d’écran :

Nous sommes dans l’attente d’une vidéo avec le maire qui brasse de l’air au milieu des sables de Loire… alors que les éoliennes ne sont toujours pas installées dans l’agglo !

Pas encore vu

Cela se fera le vendredi 13 octobre 2023, à 20:00 dans le meilleur cinéma d’Orléans (>fr), en attendant, voici la bande annonce :

Votre serviteur ne l’a pas encore vu, mais Isabelle Lesens, de Isabelle & le vélo, si, c’est ici dans ce lien (>fr). N’hésitez pas à flâner sur son cyber-cahier, c’est une mine d’or d’informations.

Vu ailleurs

Sauf erreur de mon guidon, je n’ai pas parlé ici cette passerelle roulée au printemps à Lemòtges. Il semble que, il y a des années de cela, les sévices techniques pouvaient/savaient faire des choses bien. Autour de l’escalier central en colimaçon, une rampe assez large pour que 2 vélos puissent se croiser permet de passer au-dessus de l’autoroute.

C’est fait ! Pas d’affolement, l’équipement doit dater des années 90, il n’y a rien avant du côté  Vienne (3 pictos épars), rien après en direction des Bénédictins (3 pictos épars).

Écouté

Épisode 40 – Stéphane Gibon – l’âme du cyclotourisme

Bon et bien, nous y voila au 40 ème épisode. Pas de discours solennel, j’attendrai le 50 pour cela.Aujourd’hui, vous allez découvrir un personnage à la fois unique, génial et dont la culture n’a d’égal que sa gentillesse. De plus, avec l’engouement des épreuves longues distances, on a tendance à oublier que ces épreuves ont toujours fait partie du paysage cycliste.

Cela fait du bien de tuer l’idée que le graveuleuh° n’est pas un besoin artificiel créé par une petite caste sociale pour se reproduire entre elle, que le monde autour de ce type de vélo, c’est uniquement de la mercatique…

° « gravel » en patois de geek parigot, « garnotte » dans le dialecte québécois du françois. À ce sujet, ne pas oublier de lire l’excellent billet « la randonneuse à papa, le gravel du fiston » sur Bike-Café (>fr), un titre valable au féminin.

Une fin juin électrique

Dans le poste local, il y a Françoise B. qui est la principale intervenante dans « le vélo pour tous (et toutes) » sur radio bleue (>fr).

Françoise parle de son expérience de l’électrocyclette dans les dernières émissions de la mi-juin.

Entendu

Que n’ai-je entendu sur une autre radio locale.

Il y a eu un épisode « avec Carré, c’était mieux ». C’est avoir la mémoire sacrément courte pour oublier que le gugusse s’est toujours opposé à trop de piétonisation – par exemple, place du Châtelet (il était adjoint) – , qu’il voulait nous voir dans une rue étroite avec une passerelle en débouché (>fr-Jeanne à Vélo).

oliviercarre

Comme c’était laaaaaaaaaaarge un équipement Carré©

Retour chez le dépassé, municipales 2020… après JC (>fr) :

Sur le fessebouc, a été publié, bien avant le premier avril, une saynète dans laquelle 2 personnes racontent n’importe quoi. Le décor est planté au sud de la Loire, les 2 *Ons de service circulent sur un trottoir, rien de plus qu’un trottoir et très vite, le ton est donné. Les premières répliques parlent de « liaisons sud-nord heu… nord-sud », l’acteur ne semble pas trop connaître son sujet.

Il faut savOir que c’est déjà l’auteur d’une nuisance en Or, avec un grOs « O » cOmme dans trOu du c… la liaisOn entre la bibliOthèque et la lOire. C’est lui qui avec sa cOllabOratrice prOmettait un « truc vachement sécure ».

🙂

🙂

Fin de citation, retour au présent. « Avec Carré, c’était mieux », c’est oublier que sous son intérimat ont été « aménagés » le giratoire devant la bibliothèque (repris en pire depuis), le circuit reliant la bibliothèque à la Loire (repris depuis sous la forme d’une voie bus/vélo (en partie)), la RN20 au sud (trottoirs, bordures, étroit…). C’est oublier que le soir de la présentation du fumeux plan « ça roulera jamais pour vous pauvres hères », non seulement il a été incapable, tant comme le vice-président au vélo, de donner des exemples d’aménagements de qualité, de reconnaître qu’il nous dit que plus un trottoir ne sera peint au moment même où un trottoir (rue des bransles) était peint… bref, je ne passe pas pour avoir une bonne mémoire et peut-être suis-je de mauvaise fois, mais je ne me pense pas moins loin de la vérité que ça.

L’émission du 20 juin 2023 « le vélo avec DAMMO ».

Ce jouèb, dont l’auteur fait tout pour y écrire dans un françois de bon aloi, se nomme « bécancaneries », c-à-d la contraction de « bécane », « cancans » & « âneries ». Comme je ne sais pas me battre, je ne vais provoquer personne, mais quand même 😀

Plus sérieusement et hors l’écorchement du nom de ce jouèb, l’émission du 20 était le pendant de l’autre. Même si je ne partage pas tous les avis, je vais terminer ce billet en donnant le lien vers Radio-Campus (>fr).

À Bâtons Rompus